L’annonce va faire l’annonce d’une bombe dans les études médicales et paramédicales, avec la suppression dès la rentrée 2020 du numérus clausus, un système vieux de près de 50 ans.
« Il y a trop d’enfants qui souffrent », avait estimé la semaine dernière la ministre de la Santé Agnès Buzyn, évoquant la première année des études de médecine, très sélective. Ce « n’est plus supportable, c’est un gâchis », avait-elle insisté.
Une autre forme de « sélection » sera mise en place, sans en préciser plus.
L’an dernier sur 60 000 étudiants inscrits en paces, seulement 13 500 avaient été autorisés à poursuivre leur cursus, médecine, dentaire, pharma, sage-femme, et aussi les kiné, qui ont mis un pied dans la fourmilière il y a bientôt 3 ans.
Est ce le début de la fin pour la profession ?
Mardi, Emmanuel Macron donnera ses directives concernant le système de santé français, avec des nouvelles solutions ?