Depuis quelques semaines, il est assez fréquent de voir certaines publications sur les enjeux des négociations conventionnelles avec la CNAM.
La Caisse nationale de l’Assurance Maladie (Cnam) est la « tête de réseau » opérationnelle du régime d’assurance maladie obligatoire en France. Son rôle : impulser la stratégie au niveau national, puis coordonner et appuyer les organismes locaux qui composent son réseau.
Concrêtement, pour les kinés, c’est l’entitté qui fait évoluer la profession .
1. Création d’un numérus clausus d’accès au conventionnement : un nombre défini annuellement par région de kinésithérapeute conventionné …. en fonction du nombre de professionnel déjà en place.
2. Zonage ++++ : pour les kinés déjà installés, 3 types de zones, intermédiaires (régulation), surdotées (principe avec 1 arrivée pour 2 départs), ultra-dotées (plus de conventionnement)
pour les néo-diplômés : 3 années dans une zone sous-dotées (aide de 30000 euros à l’installation) ou obligation d’exercer dans un établissement de santé afin d’obtenir le conventionnement, un système déjà en place pour les infirmières.
Voici les 2 axes principaux qui font débats ….