Flora est actuellement en 1ère année à l’IFMK d’Alençon et elle a accepté de répondre à nos questions, merci à elle !
Je m’appelle Flora Meirhaeghe, j’ai 20 ans et je suis en K1.
« Je veux devenir kiné pour la relation avec le patient, et surtout le rôle primordial que joue la kinésithérapie à tout types de niveaux et tout au long de la vie. Je dirais que c’est la pluridisciplinarité de ce métier qui me plait.
L’IFMK d’Alençon, où j’étudie, a plusieurs bons points : les locaux sont tout neufs, et le matériel en grande partie aussi, les professeurs sont à l’écoute et le directeur l’est aussi beaucoup. Nous sommes souvent sollicités comme bénévoles sur des évènements sportifs en Normandie, cela nous responsabilise progressivement. En K1, nous sommes notés avec un contrôle continu, et les années suivantes avec des partiels et quelques évaluations le long de l’année. Le contrôle continu nous permet de relâcher la pression après 1 voire 2 années de Paces, staps, bio, qui n’ont pas toujours été bien vécues. Les mauvais points : la localisation : Alençon est une petite ville loin de beaucoup de grandes villes, elle est donc moins dynamique. Je ne vois pas d’autres malus à ajouter.
Je m’informe par curiosité, sur les différentes formations qui peuvent s’effectuer après le diplôme, et sur les nouvelles avancées technologiques qui peuvent nous servir. J’ai entendu dire que les kinés essayent de faire passer une loi pour pouvoir effectuer un pré-diagnostic, avant le médecin. Il y a aussi un désir de reconnaissance, pour être reconnus Bac+5, je ne suis pas sure pour cela.
Pour devenir Kiné, il faut aimer toucher les gens, parce que nous sommes des Masseurs-kiné, donc toucher, palper fait partie de notre quotidien. De manière plus générale, il est important d’aimer les gens. «